Dernière ligne droite, le Zélium # 13 va arriver prochainement à notre imprimeur. L’occasion de parler de son contenu. Et d’annoncer que grâce à Zélium, vous pourrez financer vos binouzes à la Fête de l’Huma. Rien que ça.
Ça y est, le Zélium #13 est en plein bouclage.
Rendez-vous confirmé avec nos lecteurs : nous fêterons la sortie du n°13 à la Fête de l’Huma, à l’Auberge du Périgord où l’équipe tiendra un stand.
Opération « Zélium te paye tes binouzes à l’Huma »
Appel aux bénévoles : devenez nos kiosquiers ! L’association Jack is on the road recrute des soiffards pour vendre le Zélium #13 à la criée dans les travées de la Fête de l’Huma. Echange de bons procédés, sur chaque numéro vendu (3 €), vous récupérez 1 €, de quoi payer vos binouzes pendant la Fête.
C’est Super Rémi (ici à droite) qui chapeautera cette fine équipe. Plus vous serez nombreux, plus vous serez nombreux.
Emballés ? Contactez Super Rémi à l’adresse :
kiosquiers [at] zelium.info
A propos du Zélium n°13
La ligne éditoriale est désormais plus claire, plus homogène, plus tranchée. Un thème majeur sera le dénominateur commun de chaque prochain numéro. En l’occurrence, la Finance pour ce n°13, qui sera tout aussi bien traitée par les journalistes que les chroniqueurs et les dessinateurs sur 28 pages, au lieu des 24 initialement prévues (suite à une recapitalisation menée à l’aide de business angels).
Parlons-en, de ceux qui ont fabriqué ce numéro 13. Ils proviennent du Monde, de Politis, de Siné Hebdo, de Siné Mensuel, de Psikopat, de La Mèche, de Fluide Glacial, de l’Echo des Savanes, de Causette, de Kamikaze, d’Hara-Kiri, de Charlie Hebdo, de La Lettre à Lulu, de Vigousse, du Courrier International, et même du Journal du Jeudi, le seul hebdo satirique du Burkina Faso. Ça en fait, du beau monde ! Une foultitude de talents réunis dans un même journal, où tout le monde est bénévole depuis plus de deux ans maintenant.
Lecteurs, avant même de pouvoir feuilleter le n°13, voici déjà la liste de ses participants.
Journalistes : Jérôme Bonnet, Olivier Bonnet, Nicolas de La Casinière, Rodion Romanovitch Fierolnikov, Jipé, Olivier Marbot
Chroniqueurs : Noël Godin, Hénin-Liétard, Sushina Lagouje, Dr Lichic, Étienne Liebig, Maël Nonet, Nikus Pokus, Serge Prince, TGD
Dessinateurs : Aurel, Bar, Bedrossian, Berth, Besse, Rémy Cattelain, Chimulus, Clé, Coco, Decressac, Flavien, Gab, Giemsi, Glez, ÏoO, Lardon, Large, Mo/Cdm, Mutio, Mykaïa, Pakman, Rifo, Sergio, Sondron, Soulcié, Troud
Diffusez le Zélium # 13 autour de vous !
Édité par une association loi 1901, Zélium est un irrégulomadaire libre, sans actionnaire ni publicité. Ses revenus proviennent exclusivement de la vente au numéro, de l’activité de la boutique en ligne de soutien, ainsi que des dons de ses généreux lecteurs.
Jusqu’à présent, Zélium était vendu en kiosque dans les pays francophones. Désormais, Zélium sera vendu exclusivement par correspondance et sur les stands que nous tenons.
Amis lecteurs, nous avons besoin de votre mobilisation car sans vous, point de Zélium.
Sur la boutique en ligne de l’association, vous pouvez d’ores et déjà précommander 1, 5, 10, 20, 50, 100 voire même 500 exemplaires d’un coup. Sait-on jamais.
Diffusez ces Zélium n°13 autour de vous, devenez les kiosquiers de quartier du journal, les crieurs de rue et les prescripteurs militants d’un temps où les titres de presse indépendants – ou plutôt uniquement dépendants de leurs lecteurs – se battent pour publier.
3 comments
Zélium redécolle | Flavien says:
août 25, 2013
[…] plumes et les crayons à retrouver dans ce treizième numéro (cliquez ici pour accéder au communiqué du journal): Journalistes : Jérôme Bonnet, Olivier Bonnet, Nicolas de La Casinière, Rodion Romanovitch […]
Troma7 says:
août 20, 2013
Je pense que ce que veut dire Zélium, c’est que la distribution en kiosque coûte une véritable fortune pour les petits titres qui ne sont financés que par eux-mêmes. L’autre soucis majeur qu’on peut remarquer facilement, c’est que les journaux libres (satiriques, politiques, subversifs) sont très mal placés en kiosque (exception faite des « gros titres » de ce genre que les kiosquiers sont assurés de vendre, comme le Canard, Charlie ou Siné, qui possèdent déjà un nom et un capital médiatique et financier). Rares sont les vendeurs qui prennent la peine de les mettre en évidence, et la plupart du temps ils pourrissent au fin fond des rayons en attendant leur mise au pilon… Faute de moyens et de kiosquiers « militants », il faut donc trouver d’autres modèles de distribution!
J’ai bon?
T.
rom says:
août 19, 2013
Bonjour,
Pourquoi est ce la fin des kiosquiers ?
Longue vie à la Zélium team