Pour un second souffle
Zélium a besoin de vous, à nouveau. Cela fait deux ans que la nouvelle formule est sortie en kiosques, l’énergie est bien là mais c’est toujours difficile d’attirer de nouveaux lecteurs et de rentrer dans les frais d’impression et de distribution.
Depuis décembre 2014, nous avons sorti 9 numéros thématiques, mais nous n’avons pas assez de réserves pour lancer un n°10. C’est pourquoi nous nous tournons à nouveau vers vous afin de reprendre du souffle.
Pour atteindre l’équilibre en kiosques entre les coûts d’impression et de distribution, nous devons au minimum vendre 25% des exemplaires mis en place, alors qu’en moyenne nous sommes resté autour des 20% sur les 9 numéros parus. Sur un tirage de 12.000 exemplaires, nous en diffusons dans le réseau presse à peu près 10.000. Un chiffre à comparer avec les quelque 25.000 points de vente du réseau en France métropolitaine. Impossible donc d’être présent dans tous les kiosques, ce qui limite notre visibilité, et parfois augmente la difficulté pour des lecteurs fidèles de nous trouver en kiosques.
Rappelons que Zélium reste un projet autofinancé par ses propres contributeurs, qui ne sont pas rémunérés pour la publication de leurs œuvres ou leurs articles… Seuls les intermédiaires techniques le sont, à savoir notre imprimeur et les deux distributeurs, sans qui nous n’aurions aucune visibilité : les Messageries lyonnaises de presse (MLP) dans les kiosques, et Pollen Diffusion dans les librairies.
Zélium a été en mesure de signer jusqu’à 4 contrats d’insertion à temps partiel depuis 2014, afin notamment de développer une activité d’édition. Il faut savoir que les emplois “aidés” actuels (CUI, contrats uniques d’insertion) exonèrent l’association d’une partie seulement de certaines cotisations patronales. En sachant que finalement, des emplois exonérés “à 60%” (taux actuel des contrats actifs fin 2016) conduisent l’association à prendre en charge plus de 80% des salaires nets versés aux salariés (20h par semaine, base Smic).
Nous avons aussi déposé un dossier de subvention, pensant que dans le budget annuel des « aides publiques à la presse », qui dépasse les 700 millions € par an, nous pourrions avoir quelques miettes. Nous avons déposé en avril une demande d’aide au ministère de la Culture, au titre des publications « à faible ressource publicitaire », un euphémisme pour notre journal. Malheureusement, notre dossier a été recalé car les comptes de l’association ne sont pas certifiés par un commissaire aux comptes…
Voilà, nous jouons carte sur table avec vous, lecteurs : aidez-nous, selon vos moyens, à redonner un second souffle au journal et repartir de plus belle…
L’équipe du Zélium
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